Sébastien Marchal

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Des formes, des ires
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Mon travail de commande s’articule avec un constant travail de recherche (de formes, de vocabulaire graphique et typographique), et je n’établis pas de séparation entre les deux : c’est parce que j’élabore des images sur la durée, en relation avec les thématiques politiques et artistiques qui me préoccupent, que je peux produire des réponses appropriées dans le moment souvent resserré de la commande. Le graphisme, et notamment le graphisme social, est pris dans une double contrainte : la nécessité de l’expérimentation et de l’invention des formes, d’une part ; la nécessité de s’adresser à tous, d’autre part. C’est cette tension qui génère dans mon travail des images apparemment simples et accessibles, mais porteuse d’une complexité et d’une richesse du sens, que la première lecture n’épuise pas, et qui engage le regardeur dans sa construction.

Array, Array

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Des formes, des ires
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Mon travail de commande s’articule avec un constant travail de recherche (de formes, de vocabulaire graphique et typographique), et je n’établis pas de séparation entre les deux : c’est parce que j’élabore des images sur la durée, en relation avec les thématiques politiques et artistiques qui me préoccupent, que je peux produire des réponses appropriées dans le moment souvent resserré de la commande. Le graphisme, et notamment le graphisme social, est pris dans une double contrainte : la nécessité de l’expérimentation et de l’invention des formes, d’une part ; la nécessité de s’adresser à tous, d’autre part. C’est cette tension qui génère dans mon travail des images apparemment simples et accessibles, mais porteuse d’une complexité et d’une richesse du sens, que la première lecture n’épuise pas, et qui engage le regardeur dans sa construction.

Array, Array

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Des formes, des ires
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Mon travail de commande s’articule avec un constant travail de recherche (de formes, de vocabulaire graphique et typographique), et je n’établis pas de séparation entre les deux : c’est parce que j’élabore des images sur la durée, en relation avec les thématiques politiques et artistiques qui me préoccupent, que je peux produire des réponses appropriées dans le moment souvent resserré de la commande. Le graphisme, et notamment le graphisme social, est pris dans une double contrainte : la nécessité de l’expérimentation et de l’invention des formes, d’une part ; la nécessité de s’adresser à tous, d’autre part. C’est cette tension qui génère dans mon travail des images apparemment simples et accessibles, mais porteuse d’une complexité et d’une richesse du sens, que la première lecture n’épuise pas, et qui engage le regardeur dans sa construction.